"DE ZWART KUNST" : Essai de déconstructivisme semi-élaboratif pro-anarchisant fait dans 3 m² avec 3 synthés et des machines, dont un vocoder nul à chier (en l'occurence un Electrix Warpfactory - N'achetez jamais cette merde !). Il s'agit là d'un recueil de chanson[g]s de plusieurs époques : on y trouve même ma toute première chanson[g] "Betwin Blue & Blak" écrite en 1987 sur un synthé et une boite à rythmes. Cet album est à peu près inécoutable : l'un de ses objectifs est donc pleinement atteint dès lors qu'il s'agit d'un projet de déconstructivisme à la fois lexical et musical ! Quasi-inécoutable, en effet, puisque cet album a été construit puis déconstruit pour pouvoir "sonner faux" et paraitre aléatoire dans son ensemble. Pour employer une métaphore couturière, on retrouve un peu le même principe avec les jeans vendus déjà troués ! Vu l'aspect aléatoire de la chose, cet album peut sonner différemment selon le grammophone employé lors de l'écoute.... voire sonner différemment deux fois de suite sur le même grammophone !!!! Enfin, Les Papillons Noirs sont aussi un clin d'oeil à Serge Gainsbourg. Je me suis inspiré +/- du Oxygene de Jean Michel Jarre sorti en 1976 et de L'Homme A Tête De Chou de Serge Gainsbourg sorti en 1976 également. Betwin Blue & Blak, qui date de 1987, est +/- inspiré de The Voice de The Alan Parson's Project sorti en 1977 et du Blue Monday de New Order sorti en 1987. La mélodie de Sword Of Damocles est inspirée de la rythmique du 3rd of June de Yello. On y trouve aussi des influences de Kraftwerk, Vangelis et, bien sûr, Klaus Schulze. Enfin, les Papillons Noirs semblent évoquer par moments Le charme discret de la bourgeoisie de Luis Buñuel. Le titre de l'album est un hommage à Hans Gensfleisch, dit Gutenberg. En Néerlandais correct, il aurait dû être écrit "DE ZWARTE KUNST" mais j'ai supprimé le "E" pour une question d'équilibre esthétique. Comprenne qui pourra !!!

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Le chainon manquant.... enfin, je me comprends. Lets code with that !!!!